Les maux de dos peuvent porter entrave aux activités quotidiennes, au travail et au bien-être sexuel.

Les personnes souffrant de maux de dos chroniques sont aux prises avec de plus grands niveaux de détresse psychologique (p. ex. :
dépression, colère), et ces sentiments ont tendance à affecter leur quotidien.

Les personnes qui souffrent d’anxiété par rapport à leurs maux de dos évitent parfois à tout prix le mouvement, ce qui tend à aggraver les difficultés déjà présentes avec les activités quotidiennes et le travail.

Les individus souffrant de maux de dos se demandent parfois si leurs problèmes sont nerveux (p. ex. : sciatique) ou osseux (p. ex. : hernie discale), mais les maux de dos sont presque toujours causés par la tension ou la surutilisation des muscles vertébraux. Par ailleurs, la position assise (p. ex. : inactivité ou au bureau), la force excessive (p. ex. : soulever des charges lourdes) et les mouvements répétitifs (p. ex. : la torsion ou la rotation de la colonne vertébrale) sont la cause principale de blessures. D’autres facteurs, tels que l’âge, l’obésité, les maladies (p. ex. : arthrite et ostéoporose) et la mauvaise condition physique augmentent le risque de blessure au dos.

La plupart des personnes souffrant de maux d’épaule n’ont pas à subir de chirurgie. Bien au contraire, elles peuvent gérer et atténuer leurs symptômes en ayant soin d’elles-mêmes et en recevant des traitements conservateurs. Ces traitements peuvent comprendre la physiothérapie, la gestion de la douleur, la physiatrie, la gestion du poids, la gestion du stress, la rétroaction biologique, la thérapie par la chaleur / le froid, les médicaments anti-inflammatoires. Il existe des manières simples d’atténuer et de gérer les maux de dos soi-même, à la maison, comme les étirements, les exercices des muscles centraux et de flexibilité (p. ex. : le yoga, le Pilates) et l’application de froid ou de chaleur aux zones affectées.

Dans la plupart des cas, les maux de dos s’atténueront d’eux-mêmes et se résorberont après trois mois. La chirurgie et les autres interventions spécialisées ne sont envisagées qu’en dernier recours, lorsque les traitements conservateurs n’ont pas allégé les symptômes. La sensation de douleur ou d’engourdissement le long d’une ou des deux jambes pourrait inciter une examination afin de déterminer si vos nerfs rachidiens sont comprimés, particulièrement si ceux-ci ne sont pas soulagés par un programme de traitement conservateur.